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(2/5) Vanessa joue au tennis en famille : « Tout ce que je veux, c’est passer un bon moment avec mon fiston »

Esprit sport est toute cette semaine au côté de sportifs anonymes ! Ce deuxième épisode nous emmène sur l’un des courts de tennis de Saint-Médard-en-Jalles, commune de 32 500 habitants située en Gironde, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Bordeaux. Là-bas, Vanessa, 49 ans, a repris la raquette et les balles il y a quelques semaines avec son fils Victor, 23 ans.

« On a repris tous les deux, on n’avait jamais joué ensemble, explique Vanessa. On s’est dit que ce serait sympa de partager ce moment-là. Donc de temps en temps, on va échanger quelques balles. C’est là que je me rends compte qu’il est vraiment meilleur que moi, mais l’idée, c’est de s’amuser, de partager un bon moment, de faire un peu de sport, évidemment et puis d’être ensemble. Il n’y a aucune performance. Tout ce que je veux, c’est passer un bon moment avec mon fiston, qu’on s’amuse, qu’on transpire un peu. J’adore ! »

Vanessa a repris le tennis il y a quelques semaines
Vanessa a repris le tennis il y a quelques semaines

© Radio France – Guillaume Battin

« Il n’y a aucune compétition avec ma mère. C’est différent avec les amis ! »

Victor : « C’est un super bon moment avec ma mère, il n’y a pas de compétition quand on joue tous les deux, mais par contre, si je joue avec des amis, ce n’est plus du tout la même histoire. Mais c’est très sympathique comme moment. »

Vanessa : « C’est un colosse, mon fils, donc il pourrait vite me dépasser en puissance, mais j’essaie malgré tout de m’appliquer, de prendre ses conseils pour monter en jeu et encore plus m’amuser avec lui. »

À savoir : 68 % des personnes se déclarant en bonne ou très bonne santé sont des pratiquants sportifs réguliers, contre 42 % des personnes se déclarant en mauvaise ou très mauvaise santé. Source : INJEP, MSJOP, Enquête nationale sur les pratiques physiques et sportives, 2020.



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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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