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« Petit cochon », « regarde-moi »: la poignée de main très tendue entre Fognini et Moutet à Stuttgart

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Après la victoire de Corentin Moutet en trois sets lors du premier tour de l’ATP 250 de Stuttgart, le Français a échangé une poignée de main glaciale avec Fabio Fognini, qui avait visiblement une dent contre lui.

L’ambiance est tendue à Stuttgart. Alors que la saison sur gazon débute cette semaine après un week-end en apothéose à Roland-Garros, plusieurs Français sont en Allemagne pour disputer l’ATP 250 de Stuttgart. C’est notamment le cas de Corentin Moutet. Éliminé au deuxième tour Porte d’Auteuil, le 91e joueur mondial était opposé à Fabio Fognini ce mardi pour le premier tour du tournoi.

Après un combat de trois sets, le Français en est finalement sorti vainqueur (6-4, 6-7, 6-3) face à l’Italien, bénéficiaire d’une wild-card à quelques semaines de ranger définitivement sa raquette à la fin de la saison.

Un choc face à Zverev au programme

Pourtant, Fognini a quitté le court central visiblement vexé, puisqu’il a échangé une poignée de main assez froide au filet avec Moutet, qui l’a brièvement regardé avant d’aller saluer l’arbitre. Le vétéran de 38 ans s’est alors tourné vers le Tricolore pour lui adresser quelques mots en français. « Regarde-moi », « petit cochon », a-t-il lancé, pendant que Moutet est retourné sur le court pour saluer le public, totalement dans l’indifférence.

« Il essaie de rentrer dans votre tête, mais j’ai essayé de rester concentré. Je suis très heureux de le battre. Si je veux bien jouer au tennis, je dois rester dans ma zone », a déclaré Moutet après sa victoire. Bien lancé sur gazon, il aura fort à faire dès le prochain tour en 8e de finale, puisque la tête de série numéro un et local de l’étape, Alexander Zverev, l’attend.

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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