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Roland-Garros. Coco Gauff sacrée : « Lors de ma finale en 2022, j’étais nerveuse, aujourd’hui, j’étais prête »

Je pense que le premier, c’était plus fort. Ici, je voulais vraiment le gagner parce que, pour moi, c’est l’un des tournois, quand j’étais plus jeune, où je pensais que j’avais les meilleures chances de gagner. J’aurais été déçue de finir ma carrière sans avoir gagné Roland-Garros. Je me suis rappelé la cérémonie de ma finale en 2022 à Paris, quand Iga Swiatek m’a battue. Je voulais vivre cette expérience avec l’hymne. Cette année-là, avant le match, je pleurais, j’étais nerveuse, je n’arrivais plus à respirer. Aujourd’hui, j’étais vraiment prête. Je me suis dit : je vais tout donner, peu importe ce qui se passe, je serai fière du résultat.

Aryna Sabalenka estime que vous auriez perdu cette finale si vous aviez affronté de nouveau Iga Swiatek, qu’en pensez-vous ?

Je ne suis pas d’accord. La dernière fois que je l’ai affrontée, j’ai gagné (6-1, 6-1 à Madrid). Tout peut arriver dans une finale. La manière dont Aryna jouait depuis quelques semaines, elle était favorite aujourd’hui. Je ne pouvais pas affronter une meilleure joueuse. Peu importe qui j’affrontais en finale, je croyais en moi. Et aujourd’hui, je suis là devant vous.

Que ressentez-vous quand vous entendez l’hymne, en tant que joueuse de tennis, mais aussi en Américaine ?

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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