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Sinner prêt pour son retour au Masters 1000 de Rome

Jannik Sinner est de retour. Suspendu trois mois après un contrôle positif au clostébol l’an dernier, le numéro 1 mondial retrouvera la compétition cette semaine à l’occasion du Masters 1000 de Rome. Le tirage au sort, organisé au pied de la Fontaine de Trevi, lui a réservé une entrée en matière abordable, mais un parcours semé d’embûches. Pour son premier match depuis sa victoire à l’Open d’Australie fin janvier, l’Italien affrontera au deuxième tour soit l’Argentin Mariano Navone (99e mondial), soit son jeune compatriote Federico Cina (18 ans, 323e), bénéficiaire d’une invitation. Une reprise progressive, avant de passer aux choses sérieuses.

Un tableau piégeux dès les premiers tours

Si le premier obstacle semble à sa portée, le reste du tableau promet un défi de taille pour Sinner. Dès les seizièmes de finale, il pourrait retrouver l’Espagnol Alejandro Davidovich Fokina (26e), joueur imprévisible mais redoutable sur terre battue. En huitièmes, l’Argentin Francisco Cerundolo (18e), spécialiste de la surface, se dresserait sur son chemin. En quarts de finale, c’est potentiellement Casper Ruud (7e), tout juste sacré à Madrid, qui pourrait lui faire face. Le Norvégien, en pleine confiance, représente un sérieux test pour un Sinner encore en quête de rythme.

Une finale possible face à Alcaraz

Bonne nouvelle pour l’Italien : il n’affrontera Carlos Alcaraz (3e) qu’en finale, le 18 mai, si les deux hommes tiennent leur rang. L’Espagnol, incertain après son forfait à Madrid, a hérité d’une partie de tableau relevée, avec notamment Grigor Dimitrov et Jack Draper.

Pour résumer

De retour après trois mois de suspension, Jannik Sinner débute le Masters 1000 de Rome contre Navone ou Cina. Un parcours relevé l’attend, avec possiblement Davidovich, Cerundolo, Ruud, puis Alcaraz en finale. Rome espère son champion.

Rédacteur

Jules Sessiwede



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Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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