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Tennis : Limoges craque pour l’Urban tennis

Ce mercredi 2 avril, l’Urban tennis tour fait étape à Limoges pour une 4ᵉ édition qui voit encore plus grand.

Limoges craque pour le tennis. Plus précisément pour l’Urban tennis, pensé pour être pratiqué partout et par tous. L’Urban tennis permet de jouer autrement et d’attirer un nouveau public. Cette nouvelle discipline permet de créer le lien entre la rue et le club de tennis. Ce mercredi, du côté de Limoges, de nombreuses animations seront proposées pour initier les passants à cette nouvelle façon de jouer au tennis.

Cette étape de la tournée est encadrée par la Fédération Française de Tennis, la Ligue Nouvelle Aquitaine, le Comité Haute-Vienne et la ville de Limoges. Un village d’animations de 600 m² va être installé avec six espaces de jeu. Pendant une journée, le public aura ainsi l’opportunité de s’initier avec les équipes de la FFT. Pour jouer, rien de plus simple : Il suffit de deux raquettes 21 pouces et d’une balle en mousse ! Les pratiquants jouent ensuite avec un filet, en utilisant le mobilier urbain ou encore contre un mur.

Des premières éditions réussies

À l’initiative de la FFT, l’Urban tennis fait le tour de France et s’installe le temps d’une journée sur une place, dans un parc ou sur un parking. L’idée est simple : initier les passants au tennis et leur donner le goût du sport de raquette. Au total, lors des deux premières éditions, 72 000 participants ont été recensés.

Comme l’explique Gilles Moretton, président de la Fédération Française de Tennis, « l’Urban Tennis permet aux gens de jouer toute l’année, de découvrir le tennis pour certains et de se dire, comme je l’ai vu moi la semaine dernière, avec certains jeunes qui avaient tout de suite des facilités : « Si tu veux continuer à jouer, il y a un club pas très loin. » »

Auteur : Olivier Navarranne

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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