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Tennis / Open de Biarritz : “C’est ma troisième défaite en autant de finales cette année”, souffle Sarah Rakotomanga

Sarah Rakotomanga affichait une mine triste sitôt la remise des prix effectuée. Elle n’a pas décroché deux mots à l’interview d’après-match de Neslon Monfort, invité vedette du tournoi biarrot. Mais pour « Sud Ouest », elle a été plus prolixe. Tout en restant déçue de sa performance en finale. « Oui, je suis déçue, car c’est ma troisième défaite en autant de finales cette année (deux tournois ITF de 50 000 dollars à Macon et au Burundi), j’ai fait trop de fautes directes pour l’inquiéter. J’ai eu un petit coup de mou à la fin du premier set et elle en a bien profité en étant plus solide que moi… »

Avec son clan, la Franco Malgache avait mis un plan de jeu en ordre de marche. Lequel a été dur à respecter. « Je savais qu’elle était agressive et mettait beaucoup d’intensité sur les trois premières frappes, je devais donc tenir l’échange, mais ce fut compliqué. En plus, elle m’a joué beaucoup plus le revers, or je suis plus à l’aise en coup droit pour varier le jeu et les zones. C’est ça le haut niveau. »

Entre Toulouse et Plaisir

La jeune femme de 19 ans, qui s’entraîne au TC Plaisir et partage son temps entre Toulouse et les Yvelines, a, pourtant, réussi une semaine pleine à Biarritz en battant, certes, des joueuses moins bien classées qu’elle à la WTA, mais en impressionnant par la justesse de son jeu, notamment contre Amandine Hesse, battue 2 et 2 en 8e de finale. « Oui, c’est bien, mais il faut que j’arrive à passer un cap et remporter une finale… »

Bonne nouvelle, appris cette semaine de la bouche de François Duport, directeur du tournoi et conseiller technique national à la Fédération Française de Tennis, sa sélection pour les championnats de France universitaire à Agde, du 16 au 19 juin. Quatre jours de compétition intense avec les meilleures joueuses étudiantes venues de toute la France. Il sera temps ensuite de penser à la suite de la saison. Et de gagner cette fameuse première finale, « qui j’espère sera le déclic… »

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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